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BGN. Photo Charles de Linière

Crédit photos
Charles de Linière

Mon travail se nourrit du monde

minéral, végétal et corallien,

de l’univers vivant que nous habitons

et qui nous habite.

Il est simple et évident comme la vie.

Bijoux du monde vivant

Mes bijoux sont des pièces uniques,

pour habiller les femmes comme les déesses

qu'elles sont et ont toujours été.

Je les travaille comme des miniatures, comme un haïku honorant le lien qui de tout temps a uni les femmes

et la nature, un moment fugace et plein,

une perfection, un état de grâce fulgurant.

J’intègre du bois, des perles de rocaille, du fil,

du laiton... je fabrique des apprêts en inox

et m’amuse à créer des bijoux en forme de mobiles et à travailler sur la réversibilité et le dépareillement.

Je crée des petites séries, toutes faites de pièces uniques avec un univers commun ;

aussi trouve-t-on des Lagons, des Funambules, des Gorgones, des Fées, des Pays-Paysages, ou encore

des Aras et des Glamrock...

Ce que je cherche à capturer dans mes bijoux :

l’éternité dans l’éphémère.

Quand je les fabrique et quand je les porte, ils me connectent

à un univers fondamental et primitif.

Tableaux et scupltures

Entre figuration et abstraction, je façonne des formes

et volumes à partir de faïence, que j’engobe, émaille,

et, à l'occasion, décore à l’or avant plusieurs cuissons.

Parfois, je rehausse certaines pièces en utilisant crayons, pastels,

gouache ou feutres… Pour d’autres pièces j’intègre des éléments trouvés, glanés ou chinés (bois, métal, tissu, sable, poupées), si le travail en cours

le réclame.

Puis j’invente comme un petit théâtre. Je dispose mes personnages

sur la scène : les formes en faïence sur le support approprié.

Je joue avec la profondeur, composant des reliefs,

des éminences, des pointes, des creux, des failles, des dépressions… 

– la géographie de la vie.

J'aime créer du mouvement, m'amuser avec la cinétique : ainsi

certaines pièces tournent, d'autres se déplacent ou sont interchangeables.

En une correspondance intime, mon travail traduit mes questionnements, mes enthousiasmes et mes doutes, ou tout simplement transcrit

une émotion. Et, comme souvent, il m’échappe.

Par-dessus tout je cherche à rendre mon émerveillement, ma joie ;

 je veux célébrer le lien qui nous unit les un.e.s aux autres.

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